vendredi 19 mai 2017
lundi 27 février 2017
une cicatrice communale parmi d'autres: HAIES VIVES/ HAIES MORTES
HAIES VIVES/ HAIES MORTES...
On pouvait penser que les mentalités avaient évolué... Les connaissances acquises sur les équilibres écologiques, sur la pérennité des agro-systèmes, sur l'importance à préserver la bio-diversité semblaient le garant d'une autre attitude des acteurs publics.mardi 24 janvier 2017
Les choses se répètent, en politique comme ailleurs
Les choses se répètent, en politique comme ailleurs.
Les critiques violentes sur le déficit démocratique, l'arrogance des élites, la crise de régime, le fossé qui se creuse entre le quotidien des français et "l'establishment", etc... s'estompent dès que les élections approchent comme si, par un effet miracle, la nouvelle élection allait tout résoudre.
Essayons de voir quelle est notre réalité. La logique du profit a transformé la planète en un vaste système marchand. L'humain et la nature devant se plier à cette logique infernale, les dégâts sont considérables. Toutes les initiatives alternatives sont combattues, récupérées ou tolérées à la marge.
La sobriété heureuse, sortir du consumérisme, conjuguer la décroissance au quotidien, au-delà des belles actions menées, supposent des changements de paradigme. Il faudra du temps et de la volonté.
L'histoire nous montre que les ruptures politiques sont le fait de la rue et des mouvements sociaux qui "portent" certains hommes politiques vers des regards différents.
Mais aussi, nous devons retenir que, souvent, les mouvements de rupture se sont réalisés dans la violence car les intérêts en jeu sont tels qu'il ne peut en être autrement.
Mais aussi, nous devons retenir que, souvent, les mouvements de rupture se sont réalisés dans la violence car les intérêts en jeu sont tels qu'il ne peut en être autrement.
Récemment en Grèce un parti a porté beaucoup d'espérance pour finir étranglé par les logiques financières. C'est une histoire qu'il ne faut pas oublier.
Aujourd'hui, certains candidats se réclament de la rupture et apparaissent, du coup, comme porteurs d'un changement possible. Beaucoup y croient. Comme si "l'homme providentiel" pouvait être une réponse.
Certains s'en servent d'ailleurs et les démarches "bonapartistes" sont le pendant des pseudo-concertations des "primaires"
L'objectif de cette mise en scène est bien de légitimer un système en perdition, en jugulant l'abstention afin d'évoquer une représentativité non contestable. Là est le piège.
La finance bridera toute initiative et seule une volonté populaire organisée à travers une Constituante permettra à la démocratie de s'exercer pleinement et d'avoir les armes pour combattre.
Récemment des observateurs expliquaient que la démocratie ne peut exister qu'à travers la désignation des élites. Ils niaient le fait que le peuple puisse exercer sa souveraineté.
Toute la question est dans l'acceptation ou dans le rejet de cette assertion.
Le mode actuel de désignation, le régime présidentiel, la réforme Jospin qui situe l'élection législative comme une chambre d'enregistrement du scrutin présidentiel, l'absence de proportionnelle, ne permettent pas à la démocratie de s'exprimer.
Du coup, doit-on participer à ce type de scrutin dont les résultats finissent toujours pas décevoir ou doit-on montrer par une abstention massive le rejet d'une représentation absurde et sans marge de manœuvre?
L'école qui consiste à faire évoluer le système de l'intérieur a ses adeptes et ne manque pas d'arguments.
A chacun de se déterminer en conscience. le 21 janvier 2017
René Burle, président d'AVEC
jeudi 24 novembre 2016
lundi 14 novembre 2016
mardi 8 novembre 2016
Café citoyen n°10 avec La Semaine de la Solidarité Internationale CANTAL
Depuis
toujours, notre pays s'est enrichi de populations différentes et
variées.
Pourtant,
aujourd'hui, la place de "l'étranger" n'est pas toujours
bien acceptée dans notre corps collectif qu'est devenue la nation
française.
L'histoire
en référence, d'écriture différente selon ses auteurs, nous
essaierons de comprendre la place prépondérante qu'est encore cet
apport: espagnols, portugais, italiens, russes, polonais, arméniens,
maghrébins, asiatiques, noirs africains et tant d'autres...
La
proportion d'immigrés en France est l'une des plus faibles en Europe
(200000/an) et cependant, le sujet reste brûlant, qu'il concerne la
protection sociale ou les échéances électorales.
A
nous d'en débattre avec nos expériences, nos connaissances et en
posant aussi les principes de base: quelle est notre identité, quel
regard portons-nous sur l'autre, quelle société possible pour plus
de fraternité?
Invitation
donc à vous emparer de ces questions . Entrée libre
avec
le collectif Cantal de la SSI Cantal
Libellés :
Café citoyen,
Etrangers,
migrants,
solidarité internationale
Pays/territoire :
Aurillac, France
jeudi 22 septembre 2016
"Aux
origines climatiques
des conflits... et des migrations"
|
Résumé:
Le
changement climatique ne crée pas seulement de motifs
supplémentaires de conflits violents, mais aussi de nouvelles formes
de guerres. Il est devenu un multiplicateur de menaces et modifie le
cours traditionnel des relations internationales. L'afflux de
réfugiés aux portes de l'îlot de prospérité qu'est l'Europe
pourrait se poursuivre et s'accentuer au cours du XXIème siècle.
Ces migrants fuient des guerres qui se déroulent loin de l'occident,
pourtant responsable historique du réchauffement global et qui
rechigne à leur reconnaître un statut.
Agnès
Sinaï est journaliste environnemental à Actu-environnement
et collabore au Monde Diplomatique depuis une vingtaine
d'années...Elle est co-auteure de divers essais parmi lesquels
le Petit traité de la résilience locale (Charles
Léopold Mayer, 2015), Economie de l'après
croissance. Politiques de l'Anthropocène II (Presses
de Sciences Po 2015), ouvrages de l'Institut Momentum sur
l'Anthropocène et ses issues, laboratoire d'idées dont elle est la
fondatrice en 2011. Elle enseigne ces thématiques à Sciences Po
(Paris) dans le cadre du Master Sciences et Politiques de
l'Environnement.
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